M. Hamed SOUMAHORO, le premier intervenant, a introduit sa communication par la singularité de la DFC et la DDC qui sont entités qui partagent légitimement une ambition commune : la croissance de l’entreprise. Alors que, celles-ci évoluent dans l'environnement économique incertain et complexe favorisé surtout par une rareté des ressources, l’impact de la Covid 19 sur l’économie mondiale, sans oublier l’impact de la guerre en Ukraine.

Dans un tel complexe, une seule solution s’impose pour la DFC et la DDC : Réussir ensemble en dépit de leurs approches divergentes. Ainsi, apparait-il impérieux de travailler à les réconcilier pour accroitre la croissance des organisations, notamment en sensibilisant et responsabilisant les commerciaux, en étudiant la solvabilité d’un client avant la signature d’une affaire, en préservant le business grâce à des solutions adaptées aux clients à risque et en copilotant la politique de crédit dans la durée.

L’intervention du second panéliste, M. Nestor ANTEY, était complémentaire à celle de son prédécesseur. Outre les aspects portant sur les constantes mutations et évolutions du monde actuel imposant aux entreprises d’être avant-gardistes, surtout en s’adaptant aux changements tout en respectant les normes légales, socio-économiques et écologiques, celle-ci a également mis en exergue la notion de conformité qui consiste pour les entreprises à déployer des procédures préventives lui permettant d'éviter de s'exposer à des risques liés au non-respect de la réglementation. Dans la suite de son propos, l’orateur a profité de l’occasion pour pointer du doigt les tensions existantes entre les entités financières et commerciales.

En guise de solutions afin d’optimiser la relation entre la DFC et la DDC, M. ANTEY a, d’abord, appelé au respect de la réglementation et des normes en vigueur imposant à chaque entreprise de se doter d’un département QHSE. « Le respect des règles de conformité est indispensable et profitable pour l’entreprise à moyen terme », insiste-t-il. Ensuite, il a fait savoir que les Directions DFC et DDC doivent travailler ensemble parce qu’ayant le même but, à savoir développement et rentabilité de l’entreprise. « Cela n’est pas une option, mais c’est la solution », a-t-il conclu.

Par ailleurs, cette cérémonie d'ouverture a été une lucarne pour Marcellin ZUNON, Expert-Comptable, afin de présenter son ouvrage intitulé « PROBLÉMATIQUE DES PRIX DE TRANSFERT » édité par les Éditions Expertise Locale à travers sa collection Capitale Compétences